19 mars 2011
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Il y a un siècle, tu as pu partir,
Sans réfléchir, tu voulais me punir.
Des traces de toi sur la colline,
M’ont laissé souffrances comme ruines.
Au fond de l’ombre, mon cœur délire,
Face au « NON « que tu as pu me dire.
Et mon amour se cache pour mourir,
Au pied du mur que tu as pu bâtir.
La nuit tombe et le jour se lève,
Et tu me restes toujours en rêve,
Trouvé un jour au bord d’un fleuve.
Sur ton rocher, j’ai séché mes linges,
Mon désarroi et toutes mes craintes.
Et puis vint le jour où tout en neige,
La fin comme un rideau qui se baisse,
Me laisse l’amour sans qu’il me blesse.
Tanger le 6 Janvier 2009 Wardatarifit